12 mai 1917
Séance du matin.
La délégation hollandaise,Vandervelde, De Man et Huysmans.
Huysmans explique dans quelles conditions a) s'est produite l'initiative hollandaise b) il s'est transporté à Stockholm.2
La délégation holl[andaise] a agi comme section néerlandaise. Le secrétariat lui a prêté sa collaboration comme il l'a fait antérieurement pour Londres et Paris.
Troelstra se déclare heureux de revoir Vandervelde. La délégation holl.[andaise] a invité à une conférence séparée les Français et les Anglais, mais les Français ont répondu en contestant le droit des Hollandais d'être représenté au C.E.3 Cette inaction ne peut perdurer.4 D'autre part, la situation du C.E. est fort difficile. Anseele se trouve à Gand et Bertrand à Bruxelles.5 Quand V.[andervelde] a fait appel aux Hollandais pour les déportations, la réponse a eu un résultat.6 Nous avons reçus de multiples demandes. Il y a l'ultimatum des Etats Unis.7 Il y a la lettre des Danois.8 La révolution russe est venue - et Stockholm est devenu un centre nouveau. Nous nous sommes détachés des statuts et nous avons agi comme délégation autonome.9
Vandervelde déclare que dans ces conditions, il n'a rien à objecter à l'initiative hollandaise.10 Le mal provient du fait que les journaux ont annoncé le transport de l'Internationale à Stockholm, sans consultation préalable. J'ai rectifié. Le Daily Chronicle a publié une note dont je n'accepte pas les commentaires, mais dont le fond est exact.11
Huysmans demande si à la date du 16 avril, V.[andervelde] n'a pas reçu un télégramme annonçant l'initiative des Hollandais, telle qu'elle a été formulée.12
Vandervelde répond négativement.
Troelstra aborde le fond. Faut-il rétablir les relations? Est-il possible d'établir une plateforme commune? Votre thèse est: La victoire de l'Entente sera une victoire démocratique.
Notre thèse est: Une victoire allemande serait le pire. Une victoire de l'Entente déclancherait l'impérialisme de l'autre côté.13
Il faut que la guerre détruise le militarisme. Partant de ce point de vue, les socialistes doivent se retrouver. Vous dites que le moment n'est pas venu, parceq.[ue] la majorité allemande n'a pas encore réussi à faire la révolution. Nous disons: nous ne pouvons faire la paix, mais nous pouvons créer une plateforme commune.
De là, deux conséquences: nous nous rapprochons de la paix et nous augmentons l'influence socialiste.
Vandervelde déclare qu'il approuve la conférence séparée.14 Il est d'accord pour repousser la paix séparée.
On parle de paix sans indemnités ni annexions. C'est là une formule élastique. La Belgique demande réparation.15
Troelstra: Payable par tous?
Vandervelde: Non, par ceux qui ont fait le mal.16 La guerre est devenue également une guerre de libération pour les arméniens, pour les Trentins, pour les Alsaciens.17 L'obstacle le + grave à la paix est le régime des Hohenzollern. L'Entente se compose des peuples qui se gouvernent eux mêmes. Les autres, de peuples qui se laissent gouverner. A quoi bon donc négocier avec les socialistes allemands:18 ils n'ont rien à dire. Nous voulons la paix avec l'Allemagne démocratique. Si nous négocions avec Liebknecht, nous le compromettrions. Nous ne pouvons négocier avec ceux qui soutiennent l'impérialisme allemand et nous ne pouvons désavouer la minorité allemande.19
Troelstra: L'opinion de la minorité ne constitue pas un argument. Les minorités sont toujours exclusives. La majorité a soutenu le chancelier contre un ennemi plus dangereux. La question est de savoir s'ils ont raison. Cette tactique n'est pas [... ? schwer lesbar].20 La majorité a déclaré que son attitude dépendra du discours du chancelier.21
Vandervelde: Pendant que les socialistes amusent le tapis, Hindenburg prépare une offensive. Il ne faut pas détendre inutilement le ressort de la défense nationale.
Troelstra: Des négociations n'ont pas cet effet. L'influence des socialistes augmentera le jour où leur plateforme sera appuyée par l'effort de tous les socialistes.
Vandervelde: Les Français et les Belges y perdraient leur influence.22
Van Kol: Nous sommes d'accord sur conférences séparées mais nous devons préparer la conférence générale. Il faut permettre aux Allemands de s'expliquer.23 Nous devons renforcer leur action intérieure.
Vandervelde: Je suis d'accord pour dire que les gouvernements ne peuvent faire seuls la paix, mais nous devons réserver nos forces. Une réunion générale est impossible,24 techniquement et le projet soulève des colères inutiles.25
Huysmans:26 Je me suis rallié à l'idée de l'assemblée générale quand est arrivé le déclenchement russe. Je veux que d'une part, les armées de l'Entente tiennent bon et que d'autre part, les socialistes allemands seront mis en demeure de mettre fin à l'autocratie des Hohenzollern. Votre thèse est purement automatique. L'Entente triomphe, la démocratie triomphe. Or, ce triomphe est une hypothèse. Les Allemands ne gagneront pas, mais ils ne sont pas encore écrasés. Il est beaucoup plus certain de travailler des deux côtés que de se contenter d'un résultat événtuel. J'ajoute qu'il était nécessaire pour moi de faire un pas en avant, afin d'entraver l'action Zimmerwaldienne.
Anmerkungen
1 Siehe auch hschr. Konzept von Huysmans (auf franz., 10 S.), in CHA, Stockholm, N. & C., Mai 1917:1. Zu den Sitzungen mit Vandervelde und De Man Pressekommuniqué Dok. Nr. P/11a; Albarda an Troelstra, 13.5. 1917 (aus Kopenhagen), in IISG, NL Troelstra, 51, und Albarda an Stauning, 13.5.1917 (aus Kopenhagen), in ABA, SDF, 528; Interview mit Albarda in Het Volk 18.5.1917, auszugsweise wiedergegeben in Internationale Korrespondenz (IK) Nr. 15, 26.5.1917, S. 101f.; Bericht von Huysmans in De Belgische Socialist/Le Socialiste Belge 2.6.1917 - mschr. Manuskript auf franz., geschrieben am 16.5., in CHA, Stockholm, Corr., Mai 1917, Nr. 105. Stillig 1977, S. 51; Geldolf 1996, S. 219-223, der sich u.a. auf jenen Bericht von Huysmans bezieht. Nach Huysmans waren die Gespräche "amicale et fraternelle"; man habe versucht "résoudre, de bonne foi, un conflit difficile". Vandervelde 1918, S. 173f, und Vandervelde 1939, S. 229, mit dem Urteil: "Malgré notre vieille amitié, l'entrevue ne laissa point d'être un peu froide". - Die Reise von Emile Vandervelde, Louis de Brouckère und Hendrik de Man nach Petrograd und ihr Wunsch eines Treffens in Stockholm waren in einem Telegramm des belgischen Außenministeriums am 20.4.1917 an Huysmans angekündigt worden, in CHA, Stockholm, Corr., April 1917, Nr. 42. Dieser Wunsch auch durch die belgische Gesandtschaft in Stockholm an Branting am 22.4.1917 übermittelt, in ARAB, NL Branting, 3.1:12. Branting erhoffte sich trotz der "Mißverständnisse" ("missförstånden") "einen freundschaftlichen Meinungsaustausch"("vänskapliga meningsutbyten"), so in schwed. Social-Demokraten 5.5.1917, S. 4. - Vandervelde und De Man trafen am 12.5.1917 morgens in Stockholm ein; siehe Interview (am 12.5.) mit Vandervelde in schwed. Social-Demokraten 14.5.1917, S. 4, und mit De Man 15.5.1917, S. 1 und 8. Vandervelde machte in seinem Interview deutlich, daß die Entente einen Befreiungskrieg führe und das revolutionäre Rußland sich diesem Kampf gegen die Autokratie vor allem in Deutschland anschließen müsse. Nur ein Sieg könne einen Frieden in Europa garantieren, und Friedensverhandlungen seien nur mit einem demokratischen Deutschland möglich. Die belgischen Sozialdemokraten würden, nicht an einer Konferenz zusammen mit der MSPD teilnehmen, ao auch nicht die Franzosen und Engländer. Ähnlich auch in einem Interview in Kristiania auf dem Weg nach Stockholm in der norwegischen Zeitung Tidens Tegn 12.5.1917, von dem eine Übersetzung durch den deutschen Gesandten in Kristiania an das AA geschickt wurde, in PA AA, Europa Generalia 82/17, Bd. 12.
2 Nach seinem Konzept, nachgewiesen oben in Anm. 1, wies Huysmans u.a. auf die Konferenzen von Kopenhagen (Neutrale) und London (Ententesozialisten) 1915 und auf die Konferenz der Neutralen im Haag 1916 hin. - Zu diesen Konferenzen siehe Graß 1975, S. 121-138, 225-242, und Blänsdorf 1979, S. 109-133, 150-168, 307-329.
3 Im Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1: "votre réponse: pas opportun".
4 Im Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1, hatte Troelstra auch zuvor "désir d'action" angeführt.
5 Im Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1, wurde auch Vandervelde genannt und als "Président absent" bezeichnet.
6 Zu den Deportationen Material in CHA, Dossiers, 603 A-B.
7 In einem Telegramm an das ISB und die angeschlossenen Parteien hatte die SPA am 10.1.1917 die Einberufung eines internationalen Kongresses am 3.6.1917 nach Den Haag gefordert. Im schwedischen Social-Demokraten wurde das Telegramm am 12.1.1917, S. 4, veröffentlicht. Zu dieser Initiative Graß 1975, S. 258-261, und Blänsdorf 1979, S. 349f.
8 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1, bezeichnete Troelstra das Schreiben von Stauning vom 2.4.1917 als "coup de grâce". Dazu Dok. Nr. P/01c, Anm. 1.
9 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1, hob Troelstra hervor: "Ne parlons pas au nom de l'Int[ernationale]". - Siehe auch Nachweise in Dok. Nr. P/01a, Anm. 4.
10 Siehe auch Pressekommuniqué, Dok. Nr. P/11a. Dieses Ergebnis hob auch Huysmans in seinem oben in Anm. 1 nachgewiesenen Bericht besonders hervor. In Vanderveldes Interview in schwed. Social-Demokraten 14.5.1917, S. 4, wird die holländische Aktion als "eine anerkennenswerte Initiative" ("ett berömvärt initiativ") bezeichnet. - Die Anerkennung von "unserer Berechtigung zu handeln" ("ons recht, om te handelen"), betonte auch Albarda in seinem Brief an Troelstra, 13.5.1917, in IISG, NL Troelstra, 51, als erstes wichtiges Ergebnis.
11 Daily Chronicle 3.5.1917 mit Vanderveldes Kritik an der "regelwidrigen" Einberufung der Konferenz und Weigerung, an einer Konferenz teilzunehmen, wiedergegeben z.B. in Nieuwe Rotterdamsche Courant 4.5.1917, frz. Übersetzung in CHA, Stockholm, N. & C., April 1917, und zusammengefaßt in schwed. Social-Demokraten 5.5.1917, S. 4. Diese kritische Reaktion zuvor in einem Brief von Vandervelde an den belgischen Außenminister, 3.5.1917, kurz genannt bei Stillig 1977, S. 51 Vandervelde schrieb der holländischen Initiative wenig Chancen zu ("échouera purement et simplement"), und er wollte Branting warnen, auf der Hut zu sein. - Branting und Stauning kritisierten Vanderveldes Kritik, in schwed. Social-Demokraten 5.5.1917, S. 4, bzw. in dän. Social-Demokraten 7.5.1917, S. 3. In letzterem wurde u.a. auch Huysmans zitiert, der allerdings darauf hinwies, daß Vanderveldes erste ablehnende Stellungnahme abgegeben worden sei, bevor die Einladung erfolgt sei und das Konferenzprojekt Form angenommen habe. Auch Branting sprach von "Mißverständnissen" ("missförstånden").
12 Telegramm 16.4.1917 in CHA, Stockholm, Corr., April 1917, S. 18; abgedruckt in Welcker 1985, S. 43.
13 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1, hob Troelstra auch hervor: "Les neutres ont autre opinion sur paix", auch wenn "la plupart du parti et du peuple néerl[andais] p[ou]r l'Entente". "Mais je veux rester en dehors de la guerre et je ne veux pas qu'on se laisse entraîner à maintenir la division int[ernationale]. Je considère la guerre autrement comme finale; vous: Entente triomphant avec la démocratie. Moi: victoire de guerre: victoire du militarisme. Pire: victoire all[emande] Défavorable: victoire Entente. Faut que la guerre fut [...? schwer lesbar] par aucune victoire".
14 Siehe auch Pressekommuniqué, Dok. Nr. P/11a. Dieses Ergebnis hob auch Huysmans in seinem oben in Anm. 1 nachgewiesenen Bericht besonders hervor. Ebenfalls Albarda in seinem Brief an Stauning, 13.5.1917, ABA, SDF, 528 - "V.d.V. [Vandervelde] war der Meinung dass die von uns geplanten Separatkonferenzen grossen Nutzen haben könnten". Ebenso in seinem Brief an Troelstra, 13.5., und in seinem Interview, nachgewiesen in Anm. 1, sowie auch Troelstra in seinem Bericht an die MSPD-Delegation am 12.6.1917, Dok. P/33b. In Vanderveldes Interview in schwed. Social-Demokraten 14.5.1917, S. 4, werden "bedeutende Vorteile" ("betydande fördelar") dieser Vorkonferenzen betont, allerdings auch die Entscheidungsfreiheit hinsichtlich der Teilnahme an einer allgemeinen Konferenz. In einem Interview in Dagens Nyheter 20.5.1917, S. 11, sprach Nina Bang in diesem Zusammenhang von "Vanderveldes tatsächlich geänderten Auffassung" ("Vanderveldes faktiska åsiktsändring"). Im Interview in Tidens Tegn (Kristiania) 12.5.1917 lehnte Vandervelde noch jede Beteiligung von Enländern, Franzosen und Belgiern an der von der holländischen Delegation initiierten Konferenz ab, die weniger Gewicht habe als eine vom ISB einberufene; auf die Separatkonferenzen nehme er hier keinerlei Bezug. In Vandervelde 1918, S. 173, bezeichnet er die separaten Konferenzen als "utiles": "elles faciliteraient des explications ou des déclarations nécessaires; elles obligeraient les coailsites de tous les pays engagés dans la guerre à exposer leurs point de vue; eller permettraient à l'opinion des pays neutres de porter un jugement d'ensemble sur la situation". - Vorkonferenzen hatte auch De Brouckère auf der vorbereitenden Sitzung mit der holländischen und schwedischen Delegation am 30.4.191 akzeptiert, siehe Dok. Nr. P/05.
15 Vanderveldes Argument nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1: "Belgique situation spéciale. Neutre. Souffert p[ar]c[e]q[ue] tenu engagements."
16 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1:
"Réparation par les puissances Centrales."
17 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1: "Annexions? D'accord annexer contre volonté habitants / crime + faute. Paix sans annexions = d'accord, mais la guerre est devenue guerre de libération / armeniens enlevé Turcs, Trentin enlevé Autriche, Alsace enlevé Allemagne". - Diese konkreten Friedensforderungen ("Desannexion"), bei Armenien die Befreiung von Rußland, außerdem noch Polen und Internationalisierung der Dardanellen, hatte Vandervelde in seiner Antwort auf die Ankündigung von Huysmans, nach Stockholm zu gehen, am 18.4.1917 bereits angeführt, verbunden mit der Warnung vor einem Separatfrieden, in CHA, Stockholm, Corr., April 1917, Nr. 29. Siehe ähnlich die oben in Anm. 1 nachgewiesenen Interviews. - Was die Stellung von Elsaß-Lothringen betrifft, so notierte Albarda in seinem Brief an Stauning, 13.5.1917, und ebenfalls im Brief an Troelstra vom 13.5., nachgewiesen oben in Anm. 1, als "sehr wichtig", "dass, falls Deutschland eine vollkommene Demokratie wird, die Frage Elsass-Lothringens einen anderen Gestalt bekommen würde". Man könne keine Einwände mehr erheben, daß es "ein autonomer Theil [...] eines demokratischen Deutschlands" würde. Auch deshalb sei "die Notwendigkeit der baldigsten Demokratisierung Deutschlands um je grösser geworden".
18 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1: "et autrich[iens]". - Zu Vanderveldes Haltung Victor Adler gegenüber siehe Dok. Nr. P/21, Anm. 2.
19 Siehe ebenso in den oben in Anm. 1 nachgewiesenen Interviews.
20 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1: "Votre manque de confiance en majorité est basé sur ce que vous croyez pas en leur tactique". Darauf antwortete Vandervelde: "attitude violation de neutralité, cruatés etc. - peu confiance".
21 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1: "la déclaration de Bethmann sur buts de la guerre".
22 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1, fügte Vandervelde hinzu: "Les minorités angl[aise] et fr[ançaise] ne représentent pas grand chose".
23 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1, betonte Van Kol auch: "Int[ernationale] sans All[emands] impossible".
24 Das Argument dafür wird im Pressekommuniqué, siehe Dok. Nr. P/11a, genannt: unmöglich, sich mit Sozialisten zusammenzukommen, " qui ont soutenu et soutiennent la politique impérialiste des puissances centrales", d.h. in erster Linie der MSPD. Diese Stellungnahme auch in Vanderveldes Interview in schwed. Social-Demokraten 14.5.1917, S. 4. In dem oben in Anm. 1 nachgewiesenen Bericht von Huysmans wird nur folgender Standpunkt Vanderveldes angeführt: "La réunion est prématûrée". Die Ablehnung hob auch Albarda in seinem Brief an Stauning, 13.5.1917, hervor, nachgewiesen oben in Anm. 1. - Ein Unterschied in der Zielsetzung, der sich schon auf der Sitzung mit De Brouckère gezeigt hatte, siehe Dok. Nr. P/05, ist ganz deutlich: Während es den Holländern und Skandinaviern um die Vorbereitung einer allgemeinen Konferenz durch die Vorkonferenzen ging, waren diese für Vandervelde wie De Brouckère eine Art von Ersatz für die von ihnen abgelehnte Vollkonferenz. In den Verlautbarungen wurde dies nicht angesprochen, aber etwa in einem Gespräch der französichen Delegation nach Petrograd mit Branting, Troelstra, Van Kol und Huysmans am 19.5.1917, Cachin 1993, S. 208f. Im Rückblick dann von Huysmans in Stockholm 1918, S. IXf.
25 Nach dem Konzept von Huysmans, nachgewiesen oben in Anm. 1: "soulève des sentiments contre nous".
26 Vor dem Beitrag von Huysmans hatte Van Kol auf "League to enforce peace" hingewiesen, so nach dem Konzept von Huysmans, Nachweis oben in Anm. 1.